Mis en scène par Guy-Pierre Couleau, qui joue sur la sobriété : juste des bougies vacillantes pour décor et un jeu de lumières aussi impeccable que la bande-son. De quoi redonner à Rictus le sourire !

Mathieu Pérez – Le Canard Enchaîné

La stupéfiante Agathe Quelquejay, dont le jeu infiniment nuancé fait vivre chaque personnage de manière poignante : en un geste elle dit l’insupportable violence, en un chuchotement le piétinement de la dignité, en un regard l’attente éperdue d’une consolation…

Agnès Santi – La Terrasse

Seule en scène une heure durant – mais que le temps semble bien court parfois — Agathe Quelquejay délivre avec une passion rare, une tendresse violente pourrait-on dire, la poésie de Jehan-Rictus (…) Le chant du rossignol est universel, envoûtant et toujours juste.

Gérald Rossi – L’Humanité

Vous serez pour longtemps hanté par la beauté des textes qu’Agathe Quelquejay aura interprétés comme le ferait une instrumentiste virtuose.

A. H. – La Tribune Dimanche

La langue de Jehan-Rictus reprend vie. Seule sur scène, Agathe Quelquejay lui redonne souffle, admirablement (…) Ces répliques centenaires, en huit syllabes, subjuguent et émeuvent.

Kilian Orain – TÉLÉRAMA

Quand on se rend chaque soir au théâtre et qu’enfin l’on a le privilège d’assister à un moment aussi sublime que ce Rossignol, on s’en veut d’avoir tant tardé. Une heure bouleversante de théâtre, de poésie pure. Grandeur, beauté, sincérité, perfection de l’interprétation, tout, ici, subjugue.

Le Journal d’Armelle Héliot

Il se produit depuis des mois un petit miracle (…) Ce spectacle éclairé à la bougie est d’une beauté rare.

Patrice Trapier – Théâtre Magazine

Le jeu de l’unique interprète (…) change à chaque étape ; il est toujours d’une folle intensité, d’un trop plein de vie sans débordements pathétiques , et capable de trouver pas à pas les différentes dignités de la douleur. C’est dire qu’ici, le théâtre, à l’un de ses niveaux les plus hauts, estomaque mais ne cherche pas à tétaniser le spectateur.

Gilles Costaz – Politis