BRITANNICUS
Tragic Circus
du 7 au 30 juillet à 19h55
relâches les 12, 19 et 26 juillet
BRITANNICUS
Tragic Circus
du 7 au 30 juillet à 19h55
relâches les 12, 19 et 26 juillet
La tragédie de Racine, dé-racinée et en-chantée !
Une histoire clownesque à l’ère romaine, de Pierre Lericq
« Attention, mesdames, mesdemoiselles, messieurs, les monstres que vous allez voir ce soir, sont des monstres aussi monstrueux que… vous ! »
L’histoire
Une troupe de théâtre ambulant, dirigé par un « Monsieur Loyal » tonitruant mène ses comédiens à la cravache pour vous raconter la véritable, et non moins monstrueuse, histoire de Britannicus.
Tout se passe en un seul jour à Rome. En mai 68 de notre ère. Le trente très exactement. Claude, l’empereur romain, meurt empoisonné par une omelette aux champignons préparée par sa femme Agrippine qui peut ainsi nommer à la tête de l’empire Romain, son propre fils, Néron.
Ce dernier, dans l’aurore, a enlevé Junie : la jeune femme qui devait se marier ce jour-même à son frère Britannicus. Néron veut se marier avec Junie. Ce qui, évidemment, provoque une fureur incommensurable, chez son frère, chez sa mère, au palais et dans tout l’empire.
Narcisse et Albin, les deux conseillers de Néron, diamétralement opposés, l’un prônant l’honnêteté, l’autre la tyrannie, et néanmoins frères siamois vont mettre Néron face à ses responsabilités et au premier choix de sa vie : Junie ou l’empire ?
Ou les deux… ?
Une histoire à deux visages
L’histoire de Britannicus, c’est, avant tout, l’histoire de Néron, le « Monstre naissant » et je veux donner à voir et à entendre le monstre qui est en chacun de nous et que nous enfermons dans notre cage thoracique et notre for(t) intérieur à coup d’éducation et de culture.
Pour que se reflète ce monstre encore plus profondément dans notre miroir, j’ai situé l’action originelle parmi une troupe ambulante d’un cirque pauvre où le « Monsieur Loyal », directeur et dresseur des « monstres » de son cirque, à l’image de Néron, exerce une totale tyrannie sur ses comédiens qu’il a récupéré au fond du trou et qu’il exploite pour quelques euros. Cette première histoire étant, vous l’aurez compris, en miroir avec l’histoire principale qu’est celle de Britannicus.
Dans cette histoire existera un conflit perpétuel entre le divin et le néant, entre le dedans et le dehors, entre le mondain et le sauvage, entre l’animal et l’ange.
Ce conflit qui est à l’intérieur de chaque homme et qu’il essaie, tant bien que mal, de résoudre pour donner un sens à sa vie. En effet, quel choix faire entre être un honnête homme ou un tyran, entre notre culture et notre nature, entre notre pouvoir et notre amour, entre notre pouvoir et notre vouloir ?
La presse parle des Épis Noirs
« Ils prouvent qu’ils ne sont pas seulement d’excellents comiques, mais des comédiens et des musiciens doués d’une sensibilité et d’une intelligence authentique. On y retournera. » Le Figaro – Bertrand Dicale
« On est électrisé de bout en bout. » Télérama – Fabienne Pascaud
« Une folie jubilatoire. » Le Parisien
« On trouve pour la forme, jeu, chant, danse, et pour le fond, inventivité, originalité, facétie, décalage, ils sont uniques, doués, talentueux et c’est pour ça qu’on les aime. » Pariscope – M.C. Nivière
« Difficile de résister à un tel ouragan. » Le Parisien
« Un jour, tout le monde s’apercevra de la singularité et de l’originalité du travail scénique des Epis Noirs. En attendant, faites partie des heureux qui s’en aperçoivent avant tout le monde. » Charlie Hebdo – Philippe. Val
Compagnie Les Épis Noirs
Auteur, metteur en scène, et musique original : Pierre Lericq
Avec Jules Fabre, Pierre Lericq, Gilles Nicolas, Tchavdar Pentchev, Marie Réache, Juliette de Ribaucourt
Assistante mise en scène : Bérangère Magnani
Scénographie : Yves Kuperberg
Costumes : Chantal Hocdé Del Pappas
Lumières : François Alapetite
Son : Jules Fernagut
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Une codiffusion Atelier Théâtre Actuel, Louis d’Or Production et Arts & Spectacles Production
Avec le soutien du Théâtre de Saint-Maur, de l’Espace Sorano de Vincennes, du Centre Culturel Marc Brinon de Saint-Thibault-des-Vignes, d’Anis Grasle lieu de l’Autre, du Phénix Festival et du Centre National de la Musique CNM
Photo © Olivier Brajon
Plein tarif : 22€
Tarif réduit (carte OFF et Balcon) : 15€